lunes, 31 de octubre de 2011

La rue Algérienne contre la venue d'une délégation du CNT Libyen: «Nous sommes prêts à prendre d'assaut l'aéroport international d'Alger»

LA RUE ALGÉRIENNE CONTRE LA VENUE D'UNE DÉLÉGATION DU CNT LIBYEN :

«Nous sommes prêts à prendre d'assaut l'aéroport international d'Alger»

La venue éventuelle d'une délégation de «diplomates» et de «militaires» du Conseil de transition libyen (CNT) en Algérie pourrait provoquer un mouvement de colère qui ne serait pas prévu par les pouvoirs publics. C'est ce qui ressort de témoignages faisant état de «préparations intenses dans des quartiers d'Alger de ripostes contre cette visite».
Des appels sont lancés sur des réseaux sociaux pour «réagir le jour de l'arrivée de la délégation à Alger». Les choses semblent sérieuses et ressemblent à la grande mobilisation populaire connue avec les insultes proférées à partir d'Egypte contre l'Algérie lors de la compétition ayant permis la qualification de l'équipe nationale de football au Mondial 2010.

«Nous ne voulons pas de criminels dans notre pays», diront des jeunes d'un quartier populaire d'Alger qui nous confient avoir préparé «la prise d'assaut de l'aéroport international d'Alger si jamais les criminels de Mustapha Abdeldjalil mettent leurs pieds en Algérie».

«Ils ont torturé des compatriotes en Libye, nous ont insultés et proféré des accusations contre notre pays ; nous ne pourrons pas nous taire et nous refusons qu'ils mettent les pieds dans notre pays», diront des jeunes d'un autre quartier. La torture, suivie de l'assassinat sauvage du colonel Mouammar Kadhafi, et les attaques répétées par le CNT et ses militaires n'ont pas laissé indifférente une grande frange de la société algérienne.

«Je suis prêt à me déplacer à l'aéroport international d'Alger pour signifier au CNT libyen et ses sbires que nous ne voulons pas d'eux dans notre pays», dira un homme, la quarantaine.

Dans les cafés, les rues, la conversation sur les crimes contre l'humanité perpétrés par les «insurgés» libyens contre des civils reviennent souvent. Sur des réseaux sociaux, des appels deviennent de plus en plus nombreux contre la venue de la délégation libyenne en Algérie et demandent l'annulation du déplacement.

«Ils ont injustement accusé l'Algérie, servant volontairement les desseins de leurs maîtres dont le seul but est d'entraîner l'Algérie dans un conflit armé ressemblant à celui qui a dévasté la Libye», diront de nombreux jeunes rencontrés à Alger.

«Vous avez vu comment ils ont assassiné Kadhafi ? Ils n'ont pas ressenti une quelconque pitié pour leur ex-leader, comment voulez-vous qu'ils épargnent l'Algérie ?», s'interroge un habitant d'Alger.

Ils sont très nombreux à souhaiter exprimer leur colère contre «ceux qui, en Libye, se prennent pour des révolutionnaires» et assassinent, sans procès, des civils désarmés, et mutilent leurs corps, en contradiction avec les préceptes islamiques. «C'est le comble de l'hypocrisie quand ils crient Allah Akbar, tout comme le faisait le GIA en Algérie quand il égorgeait, femmes, enfants et personnes âgées», diront d'autres.

«Une atteinte flagrante»

La chaîne de télévision satellitaire Arraï, diffusant à partir de la Syrie et défendant la position des pro-Kadhafi, est suivie par un public algérien de plus en plus nombreux, selon les témoignages de citoyens.
Par contre, la chaîne de télévision satellitaire qatarie Al Jazeera connaît une baisse d'audience du fait de «l'atteinte flagrante aux principes de déontologie journalistique dans la couverture des événements, notamment en Libye, en faveur d'une partie contre une autre».

«Pourquoi Al Jazeera n'a pas montré les images des civils massacrés par des bombardements de l'Otan et achevés, quand ils ne sont pas décédés, par des éléments du CNT ?»

s'interroge-t-on. Les «militaires» du CNT libyen ont commis, selon eux, des crimes contre l'humanité, au su et au vu de ceux qui, parmi les alliés de l'Otan, avaient annoncé avoir décidé d'intervenir en Libye pour «protéger les civils». Des ressortissants algériens, établis ou détenus en Libye, sont ciblés par les éléments de Mustapha Abdeldjalil et l'Algérie est attaquée par différents responsables «militaires et politiques» du CNT.

M. A.
http://www.letempsdz.com//content/view/65035/1/

miércoles, 26 de octubre de 2011

Les bombes de l’OTAN étaient munies de gaz neurotoxiques comportant des agents incapacitants produisant un délire cholinergique

Alors que l’autopsie pratiquée sur la dépouille du colonel Mouammar Kadhafi, hier, à Misrata « révèle » qu’il a été tué d’une balle dans la tête, un autre son de cloche vient faire mentir cette version des faits. Alors que tous les éléments ne sont pas encore réunis pour rendre public cette autopsie, pourquoi cette précipitation ? En bombardant le convoi dans lequel le guide libyen se trouvait, puisqu’elle le savait malgré les salmigondis officiels, les soldats de l’apocalypse, avec leurs avions de la mort, ont aussi utilisé un gaz toxique qui pouvait donner la mort à petit feu. Explication.

Selon un autre médecin présent lors de la parodie d’autopsie, le guide libyen, groggy lors de sa capture, sur la route et non dans la canalisation, était hébété. Les images le prouvent même. Les bombes de l’OTAN étaient munies de gaz neurotoxiques comportant des agents incapacitants produisant un délire cholinergique. Dans cet océan de mensonge, puisque le convoi était stoppé, avec tous les occupants des véhicules endormis, le fameux échange de coup de feu n’a jamais eu lieu, sinon, ça se saurait. C’est alors que sont arrivés sur place, quelques renégats, qui ont éliminé les autres « dormeurs », conduisant Mouatassim, le fils du guide dans une maison, et voulu humilier son père, le colonel Kadhafi, dans la rue. S’en suivit le lynchage en règle qui méritait punission si la justice existait pour les faibles.

Vous n’avez pas remarqué qu’il n’existe aucune image des soi disant combats, sinon des voitures calcinées ? Aucune image de l’arrestation des autres occupants, ni de Mouatassim ni même des accompagnateurs ? Celles qui existent présentent le guide libyen et son fils. Les analyses toxicologiques de son sang aurait révélé des traces de fentanyl, de carfentanil et d’halotane, toujours selon ce médécin qui a gardé l’anonymat. Des gaz de la mort, les mêmes qui auraient été utilisés par les forces spéciales russes en 2002, lors de la prise d’otage dans un théâtre moscovite. Des monstres on vous dit !
Demander ensuite à des supplétifs haineux, des terroristes-islamistes, qui voulaient se venger d’en finir, l’OTAN connaissait la suite mais ne voulait pas y participer. Malgré les réticences anglaises, qui ne voulaient pas laisser le guide libyen entre les mains de ces barbares, le mal est fait. Il est d’autant plus néfaste pour les renégats que, probablement sous l’emprise d’anxyolitiques, assènent qu’ils vont remettre le corps de Mouammar Kadhafi à sa famille. Une famille qu’ils veulent exterminer au vu et au su de tous ? Nous sommes en plein délire.

A peine installé par la force européenne, le CNT, agrégat de refoulés, nous annonce que c’est la charia qui régit sa législation. Mais, où sont donc les défenseurs des femmes ? Ah, aux abonnés absents. Ce sont leurs amis. Pillons en paix, allons z’enfants de la ripoublique ! Une vraie bande de v*…

http://www.algeria-isp.com/actualites/politique-libye/201110-A6649/libye-est-otan-qui-tue-mouammar-kadhafi.html

Libye – L'intervention de Seif EL Islam sur la radio de Bani Walid

Source :
Selon Allibiya TV, la radio libyenne de Bani Walid a diffusé l'intervention du fils du leader libyen, Seif El Islam Kadhafi, il a félicité la population de Bani Walid sur son courage exemplaire qui a ébloui le monde.
Seif El Islam a confirmé qu'il faut se battre pour défendre la ville et il a précisé que le guide Kadhafi a préparé des surprises qui vont changer cette situation.

http://www.algeria-isp.com/

Libye - Cinq patriotes de la cité Nasr ont été tués puis transportés par Blackwater

Source :
ALGERIA ISP / Selon Zengtena, cinq patriotes de la cité Nasr ont été tués, un patriote de la famille El Margani, un autre de la famille Boussifi et les autres sont inconnus.
Leurs corps ont été transportés par les agents de l'agence sécurité américaine Blackwater.
Pour rappel, Blackwater est une entreprise de sécurité qui a déjà une mauvaise réputation en Irak. Elle est accusée de bavures en Irak. Elle a même signé un contrat avec la CIA en Afghanistan

http://www.algeria-isp.com/

Libye – Des mercenaires étrangers et des agents de Blackwater soutiennent les rebelles à Tripoli (26 octobre 2011)

Publié le 26/10/2011

Source :
ALGERIA ISP/ Selon Zengtena, appel urgent des jeunes du quartier Abou Slim qui demandent du soutien. Ils résistent par tous les moyens malheureusement il ne reste plus de munitions. Ils lancent un appel aux personnes concernés pour qui leurs fournissent de l'armement à Abou Slim, Cité El Nasr, et Souk El Fateh.
Ils font face à des mercenaires étrangers qui soutiennent les rebelles. Ils sont de l'agence Blackwater .

http://www.algeria-isp.com/

martes, 25 de octubre de 2011

Putin: Who gave NATO right to kill Gaddafi?



Who gave coalition forces in Libya the right to eliminate Gaddafi? That's the question Vladimir Putin's been asking, during an official visit to Denmark. The Russian Premier also said NATO's effectively joined one of the warring sides in the conflict. And more responsible action should be taken instead.

Russia Today el 26/04/2011

British Leader Warns Russia ‘Time Of End’ Has Come

The sobering details emerging from the rare and unexpected visit to Russia by Prime Minister David Cameron reveal that the British leader “warned” President Medvedev that the United States is “firmly intent” upon unleashing World War III and if not stopped warned the “time of end” has come to us all.

According to this report, Cameron’s fears of the US throwing the entire world into the abyss of global warfare were accelerated this past spring after Libya discovered that the Obama regime allowed the American megabank Goldman Sachs to loot nearly $1.3 billion of its sovereign wealth fund (estimated at $65 billion) which has since“lined the pockets” of these bankster criminals who have, likewise, destroyed the United States economy too.

In what they mistakenly believed would be a quick takedown of Libya’s government, Cameron continued, Obama ordered NATO air strikes upon this North African nation and allowed the CIA to rush thousands of Afghanistan terrorists to the region to topple Gaddafi in a war that has, so far, cost over 50,000 lives.

What the Obama regime didn’t count on, Cameron says, was Gaddafi escaping with over $10 billion of Libya’s gold reserves which the Libyan leader has used to finance at least one rebel group that has led to even more chaotic violence as these factions have now turned on each other in a bloody killing spree to see who will gain ultimate victory.

Cameron warns, however, that the worst aftermath of the Libyan War is yet to be realized as over 20,000 shoulder-fired anti-aircraft missiles belonging to the Gaddafi regime have been “dispersed” throughout the world and are currently “lying in wait” to unleash the worst terror attack in human history against the United States and its Western allies.

Even worse, Cameron asserted to Medvedev that the United States had “full knowledge” of these tens-of-thousands of Libyan anti-aircraft missiles flooding the world but refused all British and French Special Forces attempts to secure them as the Americans believe that only a global war of “historic proportions” is able to stop their nation from complete disintegration.

Cameron further warned Medvedev that Gaddafi has poured millions-of-dollars into his vast spy network in Egypt that has now been “activated” and is blamed for the catastrophic attack on Israel’s embassy in Cairo that caused the Israeli ambassador and his staff to flee that Middle Eastern country.

Worse still for the West, Cameron continues, is the “unstoppable rage” of Prime Minister Recep Tayyip Erdoğan over the Obama regimes toppling of Gaddafi who was one of the Turkish leaders “best friends” in the Middle East and who just this past December bestowed upon Erdoğan the Al-Gaddafi International Prize for Human Rights for his “distinguished service to humanity.”

Russian intelligence addendums to these reports state that Erdoğan’s “rage” against the Obama regime is behind his targeting Israel by halting all trade and defense ties to the Jewish state, ordering Turkey’s ambassador to leave Israel, warning of more sanctions to come, and threatening all out war on Cypress.

Israel’s response to Erdoğan’s “rage” was a threat to support the Kurdish rebels currently attacking Turkey and which drew a sharp rebuke from Turkish Foreign Minister Ahmed Davutoglu who warned the Jewish state, “No one will be able to blackmail us.”

As both Turkey and Iran are said to be in their 'final showdown' with Kurdish rebels operating out of Northern Iraq, it is important to note that Israeli forces have been working to help establish a separate Kurd state in an attempt to further fracture the Iraqi government to keep it from becoming more powerful than it is already growing.

Important to note is that all of the events now occurring in the Middle East that are pushing our world to the brink of all-out war has long been known about, and as evidenced in our 23 October 2007 report Turkey Requests ‘Urgent’ Iran Military Aid As Syria Warns To Prepare For War wherein we warned of the United States “master plan” to redraw the entire borders of this region along what the Americans call “according to the situation of the ethnic minorities.”

This “master plan” to redraw the borders of the Middle East, according to the Armed Forces Journal, published in the United States, says that:

“The Kurds of Syria and Iran as well as Turkey “would rush to join an independent Kurdistan if they could” and the refusal by the world's legitimate democracies to champion Kurdish independence was a human-rights sin, Peters claimed.

Iraq would be divided into three smaller states as Sunni Iraq, an Arab-Shia State and Kurdistan. Jordan would retain its current territory, with some southward expansion at Saudi Arabia’s expense.

Saudi Arabia's coastal oil fields would be given to the Shia state to be established with the dissolution of Iraq and the southeastern quadrant would go to Yemen. Iran would lose a great deal of territory to Unified Azerbaijan, Free Kurdistan, the Arab Shia State and Free Baluchistan, but would gain the provinces around Herat in today's Afghanistan.

Following these changes, Iran would become an ethnic Persian state again. Kuwait would remain within its current borders, as would Oman.”

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jueves, 20 de octubre de 2011

Carter, Blair y el senador Mitchell se suman a la Declaración de Aiete

TRAS LA DECLARACIÓN DE AIETE

El ex presidente de los EEUU y Premio Nobel de la Paz Jimmy Carter, el ex primer ministro británico Tony Blair y el presidente de las negociaciones de paz en el norte de Irlanda, George Mitchell, han hecho públicas sendas adhesiones a la Declaración de Aiete que suponen un importante apoyo al proceso.

20/10/2011 8:39:00

DONOSTIA-. La Declaración de Aiete recibió ayer un importante impulso con la adhesión a la misma de Tony Blair, George Mitchell y Jimmy Carter, dada a conocer a través de Lokarri. El apoyo del primero tiene la fecha del mismo lunes en el que tuvo lugar la Conferencia de Donostia. La declaración del senador Mitchell está datada el martes y la nota de la Fundación Carter se comunicó ayer mismo. De esto se deduce que al menos los dos últimos no han tenido en consideración las críticas suscitadas por el documento en el Estado español, sobre todo en ámbitos de la derecha.

El Centro Carter, que desde Atlanta coordina las labores que dirige el ex presidente estadounidense, hizo saber que "Jimmy Carter se ha adherido hoy [por ayer] a la declaración que antiguos líderes mundiales hicieron en una conferencia en la región vasca de España, haciendo un llamamiento al diálogo entre ETA, España y Francia para poner fin al conflicto que la región padece desde hace mucho tiempo". Añadía una declaración personal de Carter señalando que "este esfuerzo merece el apoyo de la comunidad internacional".

Declaración de Mitchell

El senador George Mitchell se forjó un papel protagonista en las negociaciones de paz del norte de Irlanda, al establecer unas reglas de juego que fueron aceptadas por todas las partes y actuar después como facilitador de las negociaciones. De él toman nombre los denominados "principios Mitchell" de no violencia durante los procesos negociadores que también la izquierda abertzale ha hecho suyos.

En su declaración, Mitchell señala: "Apoyo plenamente la declaración emitida por los líderes internacionales en San Sebastián. Es importante que se tomen todas las medidas posibles para que se produzca el fin del último enfrentamiento armado en Europa. Me uno a la petición dirigida a ETA para que declare públicamente el fin de toda actividad armada y para que busque conversaciones con los gobiernos de España y Francia para abordar las consecuencias del conflicto. Creo -añade- que hay una oportunidad para una paz duradera y todos los interesados deberían de aprovechar esta oportunidad".

El ex primer ministro británico Tony Blair había estado implicado en la puesta en marcha de la Conferencia Internacional de Donostia, como reflejaba la presencia de quien fue su jefe de gabinete, Jonathan Powell.

El mismo lunes, un portavoz de su oficina declaró que "Tony Blair apoya firmemente la declaración formulada por los líderes en San Sebastián que pide a ETA que ponga fin a la lucha armada de forma definitiva. Cree que hay una ventana de oportunidad en la que el último conflicto armado de Europa puede ser llevado a su fin e insta a todos los líderes políticos para aprovechar esa oportunidad".

Resulta llamativo que Mitchell y Blair insistan en hablar del "último enfrentamiento armado de Europa", términos que han escocido mucho en las esferas de poder del Estado español y en sus principales partidos y medios de comunicación.

Petición del Friendship a la UE

También el Friendship del Parlamento Europeo defendió ayer que la Conferencia de Donostia celebrada el pasado lunes constituye "el acontecimiento más positivo en el País Vasco desde hace años" y ofrece "una oportunidad única para una paz duradera y sostenible". Por ello, reclaman un mayor papel de la UE para buscar una solución.


http://www.gara.net/azkenak/10/298256/es/Carter-Blair-senador-Mitchell-suman-Declaracion-Aiete
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Análisis de Iñaki Soto, director de GARA

Turquía pasa la frontera iraquí para responder al ataque masivo del PKK

24 SOLDADOS TURCOS MUERTOS EN LA OFENSIVA KURDA

En el mayor ataque en dos décadas de la resistencia kurda el Ejército turco, el PKK dejó ayer al menos 24 soldados muertos y 18 heridos. Ankara respondió rápidamente a la ofensiva cruzando la frontera con Irak para atacar a los rebeldes kurdos con cientos de soldados de élite y la aviación. El PKK advirtió de que aumentará sus ataques si el Ejército turco traspasaba sus fronteras, mientras Ankara amenazó con consecuencias para el movimiento político kurdo.

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Varios ataques simultáneos del PKK a unidades militares turcas dejaron al menos 24 soldados muertos y 18 heridos en la madrugada de ayer. La respuesta inmediata de Ankara fue entrar en el sur de Kurdistán, tras la frontera con Irak, y atacar zonas kurdas en combates que también dejaron 23 muertos según fuentes militares turcas.

El ataque kurdo obligó al primer ministro turco, Recep Tayyip Erdogan, a anular una visita a Kazajistán. Tras una reunión de urgencia con varios ministros y responsables militares, Erdogan confirmó que tropas de élite traspasaron la frontera «como permite el derecho internacional» y describió «operaciones de envergadura» en la frontera iraquí contra posiciones del PKK. El presidente turco, Abdullah Gül, advirtió de que «la respuesta será una venganza grande y múltiple».

El PKK reivindicó los ataques, que calificó como una respuesta a la represión del movimiento kurdo por parte del Estado truco y a los bombardeos de la aviación turca en Kurdistán sur. Elevó a un centenar el número de soldados turcos muertos. Además, lamentó la muerte de cinco de sus combatientes en los ataques, uno de los más duros en los últimos veinte años. Los ataques se produjeron en ocho puntos diferentes en las localidades de Cukurca y de Yuksekova, en la provincia de Hakkari.

Tras ellos unos 600 soldados turcos penetraron hasta cuatro kilómetros en Irak para impedir el repliegue a sus bases, a la vez que la aviación bombardeaba sus posiciones en las regiones de Qandil y Zap, según las fuerzas de seguridad turcas.

La agencia kurda Firat confirmó que cazas turcos despegaron desde la base aérea de Diyarbakir y bombardearon diversos campamentos del PKK. De los soldados desplazados, entre 300 y 400 hombres proceden de las fuerzas turcas permanentemente estacionadas en el interior de Irak desde la década de 1990.

El portavoz del grupo armado kurdo Ahmed Deniz advirtió de que el Ejército turco «será atacado aún con más fuerza si intenta llevar a cabo operaciones militares fuera de sus fronteras».

Amenazas al BDP

El primer ministro turco advirtió que quienes apoyan al PKK desde el exterior «pagarán por ello» y denunció a quienes «se pasean del brazo con los terroristas» y «no condenan el terrorismo» en referencia al Partido de la Paz y la Democracia (BDP).

Precisamente, una redada policial detuvo el martes a 78 militantes, cargos electos de organizaciones kurdas y numerosos estudiantes. El copresidente del BDP, Selahattin Demirtas, exigió al gobierno y al PKK que detengan la guerra e inicien un proceso de paz.

El pasado martes murieron cinco policías y cuatro civiles en un ataque atribuido a rebeldes kurdos en Bitlis. La aviación turca bombardea regularmente los refugios del PKK en las montañas del sur de Kurdistán, tras la frontera con Irak, pero Ankara añade incursiones terrestres para acabar sus operaciones.

Los ataques del PKK recibieron las condenas del presidente de EEUU, Barack Obama -que aseguró que continuará su apoyo a Turquía frente a «la amenaza terrorista del PKK»-, el secretario general de la ONU, Ban Ki-Moon, así como los gobiernos alemán y español, y el presidente de la región autónoma de Kurdistán en Irak, Massud Barzani.

«Apoyamos una solución pacífica»

El Partido de los Trabajadores del Kurdistán (PKK) aseguró ayer que «apoya una solución pacífica al conflicto» con Turquía, pero que si el Ejército turco no cesa sus ataques se defenderán. En declaraciones telefónicas a Efe, el responsable de Relaciones Exteriores del PKK, Farhan Omar, insistió en que la voluntad de su grupo es proseguir con «la lucha con todos los medios pacíficos y en legítima defensa». «Si el ejército turco cesa sus ataques contra el PKK, nosotros cesaremos nuestros ataques, y si no, responderemos en defensa propia», advirtió. El dirigente kurdo denunció, además, que, aunque el PKK «ha decretado más de nueve altos el fuego unilaterales» desde que comenzara su actividad en 1984, el Estado turco nunca ha dejado de atacar al grupo.

Omar recordó las demandas de la liberación del líder histórico del PKK Abdala Ocalan y de miles de presos kurdos, así como que las tropas turcas dejen de atacar en las regiones de población kurda, para poder alcanzar una solución al conflicto. GARA


sábado, 15 de octubre de 2011

Guía de movilizaciones para el 15-O

Decenas de ciudades españolas participarán en esta protesta polifónica a nivel global para pedir una democracia real

Los indignados de todo el mundosaldrán a la calle en cerca de 1.000 ciudades, en más de 70 países. En España, cuna del movimiento 15-M, la cifra de adhesiones tampoco deja de crecer. Éstas son las convocatorias confirmadas:

A Coruña: Concentración en la plaza de Pontevedra, a partir de las 18:00 horas.

Albacete: Concentración en la plaza de Gabriel Lodares, a las 18:00 horas.

Algeciras: Manifestación desde la plaza de la Constitución, a las 12:00 horas.

Almería: Manifestación desde la Puerta de Purchena, a las 19:00 horas.

Alicante: Manifestación desde la avenida Maisonnave, a las 18:00 horas.

Arrecife: Concentración frente al Cabildo Insular, a las 18:00 horas.

Badajoz: Manifestación desde la sede del Banco de España, a las 18:30 horas.

Barcelona: Manifestación desde la plaza de Catalunya, a las 17:00 horas hasta el Arc de Triomf.

Benidorm: Manifestación desde la estación, a las 18:00 horas.

Bilbao: Manifestación desde Sagrado Corazón, a las 18:30 horas, hasta Arriaga.

Burgos: Manifestación desde la Plaza Mayor, a las 18:00 horas.

Cabra : Concentración en la Plaza de España, a las 19:00 horas.

Cáceres: Manifestación desde el Hotel Extremadura, a las 18:00 horas.

Cádiz: Manifestación desde la plaza del Palillero, a las 19:00 horas.

Cartagena: Concentración en el parque de Los Juncos, a las 19:00 horas.

Ciudad Real: Manifestación desde la estación de autobuses, a las 18:00 horas.

Cuenca: Manifestación desde la estación de tren, a las 19:00 horas, hasta la plaza de España.

Elche : Manifestación desde la plaza Chimeneas, a las 18:00 horas.

Ferrol : Concentración en la plaza del Concello desde las 12:00 horas, con música, debate, música y teatro.

Gipúzcoa: Manifestación desde el Bule de Donosti, a las 18:00 horas.

Girona: Concentración en la plaza del Barco, a las 18:00 horas.

Granada: Manifestación desde la plaza de la Caleta, a las 18:00 horas.

Guadalajara: Manifestación desde el Palacio del Infantado, a las 18:00 horas.

Huelva: Manifestación desde el antiguo estadio colombino, a las 18:00 horas.

Ibiza: Manifestación desde el Paseo de Vara de Rey, a las 19:00 horas.

Jaén: Manifestación desde la plaza de San Francisco, a las 16:30 horas.

Jerez de la Frontera: Manifestación desde la plaza del Arenal, a las 19:00 horas. Prometen "sorpresas" al finalizar la marcha.

Las Palmas de Gran Canaria: Manifestación desde el teatro Pérez Galdós, a las 18:00 horas.

León: Manifestación desde Botines, a las 18:00 horas.

Logroño: Manifestación desde la plaza del Mercado, a las 19:00 horas.

Lugo: Manifestación desde la Plaza Mayor, a las 18:00 horas.

Madrid: Manifestación desde Cibeles hasta la Puerta del Sol, a las 18:00 horas.

Málaga: Manifestación desde el paseo del Parque, frente al Ayuntamiento, a las 19:00 horas.

Mallorca: Concentración en el Parc de la Mar, a las 19:00 horas.

Melilla: Manifestación desde el paseo marítimo Francisco Mir Berlanga, a las 19:00 horas.

Mérida: Manifestación desde el barrio de Las Abadías, a las 11:30 horas. Tras la lectura del manifiesto, visualizarán varios vídeos y encenderán velas por la "muerte del Estado del Bienestar".

Mieres de Camín: Manifestación desde la estación de autobuses, a las 17:00 horas.

Modoñedo: Concentración junto a la Catedral, a las 18:00 horas Prometen que habrá gaitas, pancartas y actividades.

Murcia: Manifestación desde el Jardín de Floridablanca, a las 20:00 horas.

Ourense: Manifestación desde la Alameda do Concello, a las 19:00 horas.

Pamplona: Manifestación desde la plaza del Castillo, a las 20:00 horas.

Plasencia: Concentración en la Plaza Mayor, a las 18:00 horas.

Ponferrada: Concentración en la Plaza Lazúrtegui, a las 18:00 horas.

Pontevedra: Manifestación desde la Plaza de España, a las 18:00 horas. Tras la lectura del manifiesto, habrá conciertos y actividades.

Priego: Manifestación desde la plaza de la Constitución, a las 20:00 horas.

Puertollano: Manifestación desde la estación de autobuses, a las 18:00 horas.

Salamanca: Manifestación desde la Plaza Mayor, a las 18:00 horas.

Santander: Manifestación desde la rotonda de La Sardinera, a las 19:00 horas.

Santiago de Compostela: Manifestación desde Porta Faxeira, a las 18:00 horas, hasta la praza do Obradoiro, donde se leerá un manifiesto y habrá actividades.

Sevilla: Manifestación desde la plaza de España, a las 18:00 horas.

Soria: Manifestación desde la plaza Mayor-Subdelegación del Gobierno, a las 12:00 horas.

Tarragona: Manifestación desde Imperial Tarraco, a las 18:00 horas.

Tenerife: Concentración en la plaza Weyler, a las 18:00 horas.

Toledo: Manifestación desde la plaza del Ayuntamiento, a las 18:00 horas, hasta la plaza de Zocodover.

Tudela: Concentración en la plaza de los Fueros, a las 12:00 horas.

Valencia: Manifestación desde la plaza de San Agustí, a las 18:00 horas.

Valladolid: Concentración en la plaza de Colón, a las 18:00 horas.

Vigo: Manifestación desde la Plaza de España, a las 18:00 horas.

Villa Joiosa: Manifestación desde la plaza de la Generalitat, a las 18:00 horas, con diferentes actividades al finalizar.

Villena: Manifestación desde Casa Cultura, a las 18:00 horas.

Vitoria-Gasteiz: Manifestación desde el parque de el Prado, a las 19:00 horas.

Zaragoza: Manifestación desde la glorieta de Sasera, a las 18:00 horas, hasta la Aljafería.

http://www.publico.es/espana/401515/guia-de-movilizaciones-para-el-15-o

miércoles, 12 de octubre de 2011

Colapso Económico y Tercera Guerra Mundial: El Medio para Conseguir el Objetivo

En el artículo Economic Apocalypse Goes Mainstream se dijo ya que los colapsos financieros, económicos y políticos que están ocurriendo en todo el mundo eventualmente llevarán a las naciones industrializadas del mundo a la próxima guerra. Los signos ya deberían ser evidentes para todos, especialmente en áreas como Oriente Medio, donde los EE.UU. están compitiendo por el dominio de los recursos, la superioridad monetaria y el control político.

Mientras las economías de todo el mundo implosionan y los ciudadanos están cada vez más frustrados con sus gobiernos, las cosas rápidamente pueden comenzar a salirse de control en los países - sin importar si usted está en los Estados Unidos, China, Rusia o Europa. Como resultado, los políticos harán lo que han hecho históricamente en estos casos, que es desviar la responsabilidad (ya sea por miedo o planificadamente) de sí mismos a los demás. Por lo general, esto significa que a líderes políticos y ciudadanos a océanos de distancia se les echará la culpa del malestar.

Aaron Hawkins de The Gathering Storm Nubes ( en español: Las nubes de tormenta que se están reuniendo) ofrece algunas ideas clave en las muchas variables que en última instancia, conducirán al mundo tal vez a la mayor guerra de la historia.

Cuando se juega al ajedrez el resultado del juego se determina generalmente en las primeras etapas por las posiciones que se construyen por cada jugador, incluso antes de que el primer peón caiga.
Estos movimientos pueden parecer inocuos para el ojo inexperto, pero un jugador experimentado puede leer las amenazas que crecen y se desarrollan en cada etapa. Ellos pueden ver las trampas que están siendo colocadas.

En este momento,
las naciones del mundo se están organizando y posicionando - económica, diplomática y militarmente - para una lucha que va a alterar la estructura del poder mundial de manera irrevocable.

Sería imposible entender el colapso económico que se está desarrollando y la gran guerra que casi seguro seguirá a este, sin tener en cuenta los retos de este juego de ajedrez global.

La Tercera Guerra Mundial no va a ser un accidente. No va a ser causada por una cadena de eventos desafortunados que los EE.UU. se esfuerzan por evitar. Es una meta, un objetivo específico que debe ser alcanzado con el fin de forzar un cambio cultural que la población de otra forma nunca aceptará
. Es sólo a partir de este contexto que el desarrollo de los acontecimientos en el mundo en este momento tiene algún sentido.



Aunque no podemos predecir con exactitud cómo o ​​cuándo una guerra tomará forma, debe quedar claro que el juego en el gran tablero de ajedrez está en pleno apogeo. Los actores principales - que incluyen a líderes nacionales y los agentes de élite en el poder detrás de la cortina - están de forma activa posicionando sus piezas, tal como lo hicieron en las dos décadas anteriores a la Primera Guerra Mundial y la Segunda Guerra Mundial.

Sobrevivir a un colapso económico y a la inestabilidad política puede ser el menor de nuestros problemas.


sábado, 1 de octubre de 2011

CAMBIO ESTRATÉGICO EN LA IZQUIERDA ABERTZALE Ekin decide autodisolverse tras concluir su reflexión

En el contexto del Gudari Eguna, Ekin ha dado a conocer su autodisolución como organización. Con ello pone fin a un recorrido iniciado en 1999, y lo hace animando a sus militantes a seguir trabajando por la independencia y el socialismo en la nueva apuesta de la izquierda abertzale.

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GARA | DONOSTIA

La organización Ekin se presentó en un acto de masas en el Polideportivo Anaitasuna de Iruñea el 6 de noviembre de 1999, con el objetivo de impulsar la independencia y el socialismo a pie de calle incidiendo en la construcción nacional. Tras doce años de trabajo, ha decidido poner el punto final, según han revelado a GARA dos miembros de su última dirección.

La decisión se ha materializado en el contexto de este Gudari Eguna, y así se ha hecho saber en buena parte de las movilizaciones realizadas en pueblos y ciudades durante estos días. La autodisolución es el resultado de un debate muy profundo que comenzó ya en primavera y que se deriva del cambio radical de estrategia adoptado por la izquierda abertzale.

En este proceso interno se han puesto sobre la mesa preguntas como si la labor realizada por Ekin en pro de la construcción nacional puede consi- derarse cumplida satisfactoriamente. También la de si una organización de este tipo mantiene su sentido original en el nuevo escenario o bien se puede considerar «obsoleta».

Todo ello se ha contemplado, según explican sus portavoces, con una perspectiva global de buscar la «optimización» del potencial de la izquierda abertzale y lograr la máxima «eficacia» en la larga marcha hacia la independencia y el socialismo.

«Ha sido una reflexión tranquila, teníamos tiempo -detallan-. Nuestra organización nunca ha basado su trabajo en dar respuesta a cada nuevo hecho que sucede en el día a día, sino que siempre ha mirado a largo plazo, y tampoco ha tenido que atender en estos meses urgencias como las elecciones, por ejemplo», destacan sus portavoces. Inciden por tanto en que se trata de una conclusión adoptada de modo firme y a la vez sosegado, que se considera consecuencia natural de un cambio de ciclo como el que está en marcha.

Con estos parámetros, la reflexión ha concluido con la decisión de autodisolverse. Ekin se acaba aquí, pero los que han sido sus miembros no se marchan a sus casas, según matizan, sino que continuarán trabajando en el ámbito de la militancia o la construcción nacional en general, conscientes de que «el reto que tiene Euskal Herria en este momento es grande, pero los que van a venir son mayores todavía». Así, se pone énfasis en la idea de que «el capital político y humano» de Ekin es un «activo» muy válido en la dirección marcada por la izquierda abertzale con su nueva estrategia.

Pese a la represión

Los interlocutores de Ekin que han trasladado a GARA el resultado de esta reflexión, y que mantienen el anonimato por motivos lógicos de seguridad, inciden en que la autodisolución supone una medida sincera y coherente con el nuevo escenario creado. En consecuen- cia, consideran también que ya no tiene sentido alguno entrar a repasar o valorar las discrepancias producidas en torno al cambio de estrategia de la izquierda abertzale y que han sido públicas y notorias. Y subrayan que lo realmente importante es que la ciudadanía vasca se implique ahora a fondo en un proceso que depende más que nunca del impulso popular y que «también va a exigir un grado muy alto de compromiso».

En este punto resulta obligado también aludir a la represión que se ha cebado con Ekin prácticamente desde el inicio de su labor, todavía en los tiempos del Acuerdo de Lizarra-Garazi. Sobre este tema, los dos interlocutores de GARA traen a la memoria que «después de que empe- zaran los macroprocesos con la redada contra `Egin', Ekin fue la primera organización de la izquierda abertzale atacada y siempre ha sido objeto de una fijación especial por parte del Estado. Ha sufrido numerosas redadas y sus miembros han sido torturados con saña. Sin embargo, siempre ha seguido trabajando».

De hecho, apuntan que la organización nunca ha dejado de tener una dirección y de dinamizar la construcción nacional desde la base e incidiendo en los distintos sectores. Ekin hace un balance positivo de su labor en este campo, pero siempre matizando que los avances que se han producido en todos estos años -y que han sido factor clave también para posibilitar el cambio de estrategia impulsado desde Batasuna- no pueden considerarse como mérito exclusivo de Ekin ni de la izquierda abertzale en general, sino del conjunto de los abertzales.

Los miembros de Ekin dan por concluida su labor como organización, por tanto, recalcando que su «brújula» sigue fijada en los objetivos de la independencia y el socialismo. Y certificando que seguirán recorriendo ese camino con la apuesta de la izquierda abertzale como senda.

http://www.gara.net/paperezkoa/20111001/294226/es/Ekin-decide-autodisolverse-tras-concluir-su-reflexion