« Je lève mon verre à votre bonheur personnel et à celui de votre famille » disait Nicolas Sarkozy au dictateur Ben Ali le 28 avril 2008… ajoutant même, en citant Flaubert : « En Tunisie, le climat y est si doux que l’on oublie d’y mourir ». Ce toast prend une saveur toute particulière en ce doux mois de janvier tunisien.
Sarkozy et le « bonheur personnel » de Ben Ali
Cargado por Mecanopolis. - Las últimas noticias en video.
No hay comentarios:
Publicar un comentario